Remettre au goût du jour le vrai praliné à l’ancienne
La différence entre le bon et le très bon
La touche Cavaletti, c’est la différence entre le bon et le très bon, entre la satisfaction et la perfection. Car Sophie Basselier met ce qu’elle est dans ce qu’elle fait. La gourmandise en héritage, sa famille avait fondé en 1846 la maison de chocolats Jacquin. Son goût pour l’effort et la persévérance, cavalière émérite passionnée par le saut d’obstacles. Son sens de la précision, ayant commencé une carrière dans la finance après un master à l’Université Paris-Dauphine. Et puis un jour cette évidence, reprendre des études de pâtisserie chez Ferrandi, travailler avec Dominique Costa à l’hôtel Peninsula Paris, et lancer sa propre maison pour remettre au goût du jour le praliné à l’ancienne.
Inspiré du monde équestre
Cavaletti Paris est né, cavaletti du nom de ces petites barres d’obstacles qui permettent d’entraîner le cheval, un clin d’œil au monde équestre que Sophie n’a jamais quitté. Parce que la forme et le goût vont ensemble, Sophie a conçu un praliné parfait, raffiné et craquant, qui sublime les arômes des fruits secs torréfiés et de chocolat fin. Une forme en apparence simple, mais en réalité d’une technicité marquée. Le challenge est grand car le praliné est fragile et difficile à travailler en barre très fine, il se casse facilement. Et c’est parce que c’est difficile que Sophie s’amuse ! Quand on est cavalière émérite et pâtissière passionnée, on sait sauter les obstacles et trouver des solutions.